lundi 30 juin 2008

Aux USA, Joe Horn a tiré dans le dos de deux immigrants illégaux qui se sauvaient après avoir volé chez son voisin. Et il en avait la permission selon la loi du Texas. Et plein de gens pensent qu'il faudrait que tous les américains fassent pareil... Allez lire les commentaires! Joe Horn a des fans! Mon commentaire est le numéro 261. J'ai bien hâte de voir ce que les américains vont me dire!!! Voici ce que j'ai écrit, et signé. Cliquez sur le RSS feed pour voir les gentilles choses que je vais me faire dire...


"Great Idea USA!!! Kill the niggas that cross the frontier. Cool!!! Intelligent! Killing spree all the way, with the blind rubberstamp of your so called justice! And once again you will look stupid in the tv of all the planet who will look at you with disgust. Bravo. And now that the people in washington have guns, the show will be terrific. And keep the phone cams rooling barbarians! Would it not have been cool to see Joe Horn kill the niggas on Youtube? And all the planet will watch and wonder how deep you will sink in your own shit and blod.
Comment by François Privé — 6/30/2008 @ 9:18 pm
RSS feed for comments on this post. "


http://patterico.com/2007/12/07/joe-horn-update/#comment-353002

mercredi 25 juin 2008

Encore un bon vidéo de vélotaxi électrique

http://www.youtube.com/watch?v=ueOHxHlPAFE

L'auto du futur!

Voici un petit véhicule électrique très intéressant dont il faudrait s'inspirer, pour produire ici, avec notre aluminium, de petits véhicules électriques adaptés à nos hivers.

http://www.youtube.com/watch?v=wM1F3SrUrWY

lundi 23 juin 2008

Contribution à la Tribune de Radio-Canada ( http://www.radio-canada.ca/radio/maisonneuve/ )

Contribution à la réflexion sur les Médias Québécois qui parlent trop de niaiseries


Nos médias, en parlant autant de sports, de faits divers et d'autres niaiseries, fabriquent boucoup de jeunes hommes paresseux intellectuellement. Écoutez ce que disait Benoit Dutrizac sur le sujet: http://www.radio-canada.ca/radio/vousEtesIci/dossiers.asp?idDossier=100981
Heureusement qu'il y a internet. C'est là que beaucoup de jeunes intelligents vont pour s'informer. Et ils ont heureusement la possibilité d'y constater que plusieurs des "grands" journaux du Québec utilisent des copies des mêmes textes niaiseux, et que les journaux d'ailleurs ont parfois un contenu plus intelligent et une analyse plus clairvoyante que les nôtres.
Jeunes du Québec, respectez votre propre intelligence! Contournez nos pauvres médias et informez vous sur Internet!

Rponse à Marc Taus

Voici la répose que j'ai reçue de l'inventeur Suisse Marc Taus:

"Pas sûr que de partir sur une base de fourgonnette à essence soit la meilleure option pour un tel projet...
A mon avis, ce projet, intéressant au demeurant, devrait pouvoir permettre d'avoir un vrai petit camping-car électro-solaro-propulsion humaine qui puisse rouler tranquilement à environ 30-40 km/h de moyenne sur le plat environ 100-150 km chaque jour en été sans jamais recharger ailleurs qu'au soleil...Mais une base de fourgonnette de 1500kg, même débarassée du moteur à essence est un handicap bien trop lourd...
Il vaut mieux partir de 0, et pourquoi pas éventuellement utiliser des matériaux de récup ou recyclés, mais bien moins lourds qu'un fourgonnette reprise telle quelle.
Salutations !
Marc Tauss
www.biketothefuture.ch"


Et voici ce que je lui ai répondu:

C'est vrai qu'une minifourgonnette c'est lourd, mais il y en a des milliers à recycler, donc vraiment pas cher, et les gens s'y sentent sécurisés. Les gens sont attachés à leurs minivans. C'est pour ça que j'ai l'impression qu'il y aurait un plus grand marché pour des kits d'électrification de minivan, surtout si ils étaient modulaires, la base minimale n'étant constitué que de 10 ou 15 batteries marines et d'un moteur électrique. Mais votre projet me semblerait très intéresant aussi. J'avais d'ailleurs déjà écrit un petit machin qui allait un peu dans cette direction. http://www.lebulletinregional.com/article-4-6239.html

Mais je ne sais pas si les gens se sentiraient autant en sécurité que dans une minifourgonnette modifiée. Et je suis bien d'accord avec vous pour la vitesse qui pourrait être limitée à 40-50 km/h mais les grandes routes seraient inaccessibles. Je crois que 90km/h max permettrait un bel équilibre entre l'économie d'énergie et l'utilisabilité du véhicule sur les routes régionales.

Qu'en pensez-vous?

François Privé

Combien pour électrifier (et solariser!) une minifourgonnette?

Combien pour électrifier (et solariser!) une minifourgonnette?
(English follows)



Bonjour à tous!



Une idée m'est venue et je me suis dit que je devrais la partager avec vous. Alos voici... Il y a plein de minifourgonnettes à vendre sur le marché. Et il y en aura de plus en plus avec le pétrole qui monte. On en voit plein à 3000$ et moins. Seriez-vous capables de faire un kit pour électrifier et solariser une mini fourgonnette avec un moteur électrique sous le capot, des panneaux solaires sur le toit et sur un véranda coulissant optionnel, et un lit double à l’arrière, couvrant un gros rack pour les batteries, où l’on pourrait mettre le nombre de batteries supplémentaires qu’on trouverait, et une petite génératrice, question de parer aux imprévus? On se retrouverait ainsi avec des véhicules électriques solaires habitables, qui pourraient aussi servir de véhicules récréatifs verts. ? Une semaine de soleil pour cent kilomètres d’autonomie, serait-ce possible? Si c’était possible, ce serait cool de prendre un année sabatique avec un tel véhicule. On pourrait aller faire du bénévolat pendant un an au gré de l’autonomie offerte par le soleil, les campings et les amis. Rouler la nuit et déployer des panneaux solaires supplémentaires pendant le jour… Et sur un support à l’arrière, accrocher un ou deux vélos (électriques?) pour les sorties quand les panneaux sont déployés. Il me semble que ce serait une manière écologique de donner une deuxième vie à tous ces gros véhicules sept ou dix places qui sont si souvent utilisés en solitaire…



François Privé

http://cangrejoconnection.blogspot.com/


How much to electrify (and solarise!) a minivan?

Hello everyone!

An idea came to me and I thought I should share it with you. So, Here ... There are plenty of minivans for sale on the market. And there will be more and more with oil rising. We see many at $ 3000 or less. Would you be able to make an electrification and solarisation kit fo a mini van with an electric motor under the hood, solar panels on the roof and a porch sliding optional, and a double bed at the rear, covering a large rack for batteries, which could hold the number of additional batteries that we find, and a small generator, to deal with the unexpected? We would end up with electric and solar habitable vehicles, which could also serve as recreational green vehicles. ? A week of sunshine per cent kilometers autonomy, is it possible? If it were possible, it would be cool to take a year off with such a vehicle. One could go to volunteer for a year on the autonomy offered by the sun, campsites and friends. Driving at night and deploying additional solar panels during the day… And on a support at the rear, hanging one or two bicycles (electric?) for the roundtrips when the panels are deployed. It seems to me that this would be an environmentally friendly way to give a second life to all these big seven or ten places vehicles that are so often used alone…

François Privé
http://cangrejoconnection.blogspot.com/

dimanche 22 juin 2008

Contribution à la réflexion collective après le visionnement de "No end in sight" à CBC

What will the U.S. do with all the radio active waste they have poured into Iraq?

Somebody should ask to Barak Obama, John McCain and all the Americans if they intend to clean the Depleted uranium they bombed Iraq with before leaving the country. Who pays for cleaning all this carcinogenic and teratogenic uranium? To know what I mean, look at one of the following videos:

http://www.youtube.com/watch?v=RvCmthsTEGA&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=vRIa0_ah8sI
http://www.youtube.com/watch?v=pg2NHfoC2pc

How long will it take before journalists can walk across Bagdad and all Iraq with Geiger counters to measure the radio activity of each ruin, every building and every street?

François Privé


Que feront les USA des déchets radio actifs qu’ils ont répandu en Irak?

Il faudrait demander à Barak Obama, John McCain et aux Américains si ils ont l’intention de nettoyer l’Uranium appauvri dont ils ont bombardé l’Irak avant de quitter le pays. Qui paye pour le nettoyage de tout cet uranium cancérigène et tératogène?

Pour savoir de quoi je parle, regardez l’une des vidéos suivantes :
http://www.youtube.com/watch?v=RvCmthsTEGA&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=vRIa0_ah8sI
http://www.youtube.com/watch?v=pg2NHfoC2pc

Combien de temps faudra-t-il attendre avant que des journalistes puissent marcher dans toute la ville de Bagdad avec des compteurs Geiger pour mesurer la radio activité de chaque ruine, de chaque édifice et de chaque rue?

François Privé

http://www.cbc.ca/documentaries/discussion/2008/03/no_end_in_sight.html

vendredi 20 juin 2008

Lettre à Zenn Motor Company
http://www.zenncars.com/

Ces jours-ci, les gens deviennent de plus en plus conscients qu’ils devront bientôt abandonner le pétrole et conduire une voiture électrique. Et on porte donc attention à votre entreprise innovante. Bravo pour votre belle réussite. Vous deviendrez un exemple au Québec. Et il y aura bientôt des voitures électriques partout.

Mais les gens se plaignent de la faible autonomie de ces voitures, qui sont limitées à 100km, et ce même si la plupart de leurs déplacements quotidiens font moins que 50km!Qu’à cela ne tienne! Sécurisez tout le monde en proposant de petites remorques légères contenant 250 ou 500 kilos de batteries supplémentaires, et garnissez les meilleurs modèles de panneaux solaires.

Avec de telles remorques les gens pourront ajouter 100 ou 200 kilomètres d’autonomie au besoin. Et cette énergie supplémentaire, si elle n’était utilisée que rarement, pourrait ne provenir que des panneaux solaires. De telles remorques ne coûteraient rien à inventer, pourraient être réalisées sur commande, et permettraient l’abandon de la voiture à essence à une plus grande partie de la population. Vous pourriez donc les ajouter à votre catalogue sans trop de risque, question de clouer le bec à ceux qui critiquent l’autonomie trop faible de vos voitures.

Les réseaux comme Joe Loue Tout pourraient très bien avoir de telles remorques de batteries à louer, garnie de panneaux solaires et d’une petite génératrice d’urgence. Les points de vente des voitures électriques pourraient aussi offrir ce service de location de remorques de batteries.Je crois qu’une telle remorque, avec 10 batteries marines et 3 panneaux solaires, pourrait coûter moins de 3000$. Qu’en pensez-vous?

Sur les remorques de batteries solaires, il y aurait un petit compteur indiquant le nombre de kilomètres d’autonomie permis par l’électricité s’accumulant graduellement dans les batteries grâce au soleil. Les gens regarderaient les kilomètres monter, et ils ajouteraient des panneaux sur leur garage pour que ça aille plus vite.Et alors vous pourriez dire que vous offrez une option efficace de transports alimentée par le soleil, utilisable n’importe où, même loin des réseaux électrifiés.

Et votre voiture, ce ne serait plus seulement une voiture électrique, ce serait la première voiture solaire du Québec.

Et tant qu’à faire, on devrait pouvoir lever le toit de la petite remorque solaire pour pouvoir y dormir à deux. Tout le monde voudrait une petite roulotte de ce genre dans sa cour, capable de fournir une petite source d’électricité et un abri mobile minimal en cas de besoin.

François Privé
Professeur de philosophie

P.S. Vous pourriez offrir encore plus facilement l'option solaire, en calculant simplement le nombre de panneaux photovoltaïques qu'il faudrait placer sur le garage pour charger la voiture à 100% dans une grosse journée de soleil.

jeudi 19 juin 2008

Voici un projet préparé en compagnie de David et Allison

Ensemble, aidons les orphelins d’Haïti!

Pour chaque repas que vous achèterez, un petit arbre de Moringa sera planté à l’Orphelinat Espoir d’Enfant, au nom d’un enfant qui l’entretiendra et le multipliera.

L’orphelinat Espoir d’Enfant a été co-fondé à Port au Prince par Jacqueline Lessard, une dame d’Alma qui a aujourd’hui 82 ans, et par Étienne Bruny, travailleur communautaire haïtien.

Le Moringa est un arbre très utile car il produit une alimentation complète, aide à purifier l’eau et à lutter contre la désertification et l’effet de serre. Allez voir sur Wikipedia et vous verrez!

Ceux qui le désirent pourront donner 1$ de plus, pour qu’un arbre supplémentaire soit planté en leur nom. Chaque arbre planté retirera entre 5 et 14 kilos de CO2 de l’atmosphère à chaque année pendant toute sa vie.

Voilà un beau geste pour l’environnement et pour la solidarité.

Pour en savoir plus sur l’actualité à l’orphelinat, visitez : http://www.lebulletinregional.com/article-10-8298.html






Voici le petit repas que nous vous avons concocté…

Le repas que nous vous offrons est entièrement végétarien, bon pour votre santé et bon pour l’environnement.

Nous l’avons préparé avec soin pour vous, avec les ingrédients suivants :

Spanakopitas :

Salade de carottes à la canelle :

Riz :

Boules au chocolat :


Une alimentation végétarienne utilise moins de ressources qu’une alimentation comportant de la viande, réduisant votre empreinte écologique!

Merci pour votre support et bon apétit!

Allison et David
669-1884

Lettre à Claude Bouliane en Haïti

Lettre à Claude Bouliane, à l’orphelinat « Espoir d’enfant »
cboulianne22@hotmail.com

Cher Claude,

D’abord, je tiens à te féliciter et à te remercier pour ce que tu fais pour les enfants de l’orphelinat de ta grand-mère. Je suis content que tu aies l’occasion de la voir dans son magnifique projet. Elle est si impressionnante et inspirante! Quelle belle grande dame! Merci, Claude, et Bravo pour le soutien que tu lui apportes! Tu transmettras aussi mes salutations à Étienne, à Saint-Hilbert, au Professeur Romel, à François Joseph et sa charmante épouse Lissa, à Josée et Gérard Sajous et Harry Jean Charles, à Reynold, Antoinette et Bernadette et toutes les mamans de l’orphelinat. Tu donneras aussi un bec sur la tête à chaque enfant pour moi, en le saluant personnellement de ma part.

En repensant aux enfants de l’orphelinat je me demandais si ce ne serait pas une bonne idée de donner à tous ceux qui ont plus de 11 ou 12 ans un terrain de 10’x10’ à jardiner. En laissant des livres à leur disposition, chacun pourrait décider des fruits et des légumes qu’il essayera de faire pousser dans son carré.

Et chacun des jardiniers en herbe pourrait commencer avec quelques marcottes de moringa, de simples branches maintenues dans un pot de terre bien humide pour prendre racine. Juste en multipliant cette pousse, les jeunes de l’orphelinat pourraient trouver là une alimentation complète… Imagine le gain en terme de sécurité alimentaire!

Chacun deviendrait responsable de trouver du fumier à rapporter dans son compost pour amender sa partie de terrain. La cour resterait donc propre et les feuilles compostables seraient promptement ramassées.

Et de voyage en voyage nous pourrions leur apporter des variétés de graines et des livres nouveaux, tant sur la culture que sur la conservation optimale des fruits. Et les meilleurs jardiniers pourraient faire rayonner leur jardin sur le reste des terres de l’orphelinat, en y dispersant les surplus de compost et les meilleures semences.

Les usages proposés par les jeunes pour les terres du reste de l’orphelinat devraient faire l’objet de réflexion collective. Les enfants plus jeunes pourraient travailler sur le jardin d’un grand si ils y sont invités, ou travailler à des jardins collectifs avec les autres jeunes de moins de 10 ans.

La cérémonie de remise du jardin personnel à cultiver pourrait faire l’objet d’une petite fête, une sorte de rite de passage qui initierait les plus grands au fait qu’ils ont maintenant la responsabilité de commencer à se préparer pour être capables un jour de cultiver eux-mêmes ce dont ils auront besoin pour vivre.

Tu pourras demander à Étienne qu’il te montre le livre « L’art de vivre au temps jadis » et vous pourrez lire la section sur le jardinage avec le professeur Romel et les enfants.

Comme « Projet Pilote » je verrais très bien Judith, Doudoune, Dorval et Rubens recevoir un premier petit terrain personnel clôturé. Je suis prêt à investir 100$ si tu achètes de la clôture à poule pour cet usage. Je te rembourserai quand tu reviendras.

En recevant son petit « Clos », chacun des plus grands pourraient y entretenir ses propres plantations dont ils multiplieraient la diversité à mesure que des graines et pousses passeront à sa portée. Je sais qu’ils seraient capables de planter des salades, des fèves, des courges et des melons, et ils ont déjà planté des pamplemousses et du Moringa. Ils ont aussi déjà entendu parler du compost. Joindre le don d’un jardin personnel à la cérémonie de fin d’études pourrait donner un sens supplémentaire à l’événement…

Évidemment, ce n’est qu’une idée parmi tant d’autres… Mais j’ai l’impression que la motivation personnelle des enfants à développer leur petit jardin à eux pourrait devenir une grande source d’autonomie pour l’orphelinat.

Écris moi pour me dire ce que tu en penses!

François

( Les deux plus grandes filles ont déjà fait un four solaire comme celui qui est décrit dans ton document. Ils ont d’ailleurs encore probablement tout le matériel nécessaire pour en confectionner d’autres car nous en avions apporté beaucoup. Tu pourras voir avec elles si vous avez du temps.)

Lettre à Michel Gaudreault de Radio-Canada sur Jacqueline et Claude

Cher Monsieur Gaudreau,
michel.gaudreau@radio-canada.ca
Je vous écris pour porter à votre attention le travail d’une très belle dame nommée Jacqueline Lessard, qui mériterait, je crois, vos félicitations et vos encouragements, autant pour elle-même que pour ceux dont elle prend soin. Son petit fils Claude Bouliane est présentement avec elle en Haïti, et je crois que leur histoire serait très inspirante à entendre sur vos ondes.

Jacqueline Lessard Savinsky vieille dame de 82 ans du Lac-Saint-Jean qui ramasse des bleuets l’automne au Québec pour contribuer à payer pour nourrir 56 petits orphelins. Les cinquante-six enfants vivent dans un orphelinat qu’elle a mis sur pied avec l’aide d’un Haïtien. Ce n’est pas une religieuse. Elle est l’arrière grand-mère de l’un des collègues d’école de mes enfants. Imaginez! Elle a un arrière petit-fils de 11 ans et elle passe plusieurs mois de chacune de ses années en Haïti pour nourrir ces 56 enfants, et ramasse des bleuets ici pour financer une partie de ces activités!!!

Dany Laferrière avait fait un film sur les femmes qui tombent en amour avec un jeune éphèbe haïtien. Ne serait-il pas intéressant de faire quelques minutes au sujet d’une femme qui est tombée folle amoureuse, d’un amour de grand-mère, pour 56 enfants haïtiens? Et surtout maintenant, en pleine crise alimentaire, pendant que son petit-fils est là pour l’aider.

Regardez le film que Claude avait fait sur le projet de sa Grand-Mère dans le cadre de mon cours de philosophie : http://www.youtube.com/watch?v=Hl9I9hTj38s

Si vous voulez la rencontrer, vous pourrez facilement la trouver en prenant contact avec l’une ou l’autres des personnes suivantes...

Lettre à Voitures Électriques du Québec

Lettre à Voitures Électriques du Québec
http://www.voitureselectriques.ca/Fr/main.htm
ldaigneault@voitureselectriques.ca
RH@voitureselectriques.ca
Prod@voitureselectriques.ca


Ces jours-ci, les gens deviennent conscients qu’ils devront bientôt abandonner le pétrole et conduire une voiture électrique. Et on porte donc attention à votre entreprise innovante. Bravo pour votre belle réussite. Vous deviendrez un exemple au Québec. Et il y aura bientôt des services locaux d’électrification de voitures partout.

Mais les gens se plaignent de la faible autonomie de ces voitures, qui sont limitées à 100km, et ce même si la plupart de leurs déplacements quotidiens font moins que 50km!

Qu’à cela ne tienne! Sécurisez tout le monde en proposant de petites remorques légères contenant 250 ou 500 kilos de batteries supplémentaires, et garnissez les meilleurs modèles de panneaux solaires.

Avec de telles remorques les gens pourront ajouter 100 ou 200 kilomètres d’autonomie au besoin. Et cette énergie supplémentaire, si elle n’était utilisée que rarement, pourrait ne provenir que des panneaux solaires. De telles remorques ne coûteraient rien à inventer, pourraient être réalisées sur commande, et permettraient l’abandon de la voiture à essence à une plus grande partie de la population. Vous pourriez donc les ajouter à votre catalogue sans trop de risque, question de clouer le bec à ceux qui critiquent l’autonomie trop faible de vos voitures.

Les réseaux comme Joe Loue Tout pourraient très bien avoir de telles remorques de batteries à louer, garnie de panneaux solaires et d’une petite génératrice d’urgence. Les points de vente des voitures électriques pourraient aussi offrir ce service de location de remorques de batteries.

Je crois qu’une telle remorque, avec 10 batteries marines et 3 panneaux solaires, pourrait coûter moins de 3000$. Qu’en pensez-vous?

François Privé
Professeur de philosophie

Lettre à mes amis haïtiens

Amis Haïtiens,

Si il faut en croire de grands spécialistes tels que Matt Simmon, Richard Heinberg ou Michael Rupert, ou des groupes tels que l’ASPO, nous ferons bientôt face, à l’échelle planétaire, à une pénurie de pétrole si intense que l’agriculture planétaire n’arrivera plus à produire assez de nourriture. Et on vous laissera alors crever de faim. Certains des auteurs mentionnés plus haut disent que le pic pétrolier fera quatre milliards de morts. Si vous comptez alors sur une aide extérieure, vous mourrez. (http://oleocene.org/node/3)

Il vous faudra donc apprendre à vivre sans pétrole, et seulement de ce qui poussera près de vous. Si vous ne voyez pas de nourriture pousser près de vous, votre part de nourriture est alors loin d’être assurée. Et si vous n’aidez pas tous les gens de votre communauté à faire pousser leur propre nourriture, en quantité aussi abondante que la vôtre, vous ne pourrez jamais être certains de votre sécurité.

Je vous suggèrerais deux choses dans le contexte auquel nous faisons face. Premièrement, je vous suggèrerais de répandre abondamment chez vous la connaissance du Moringa, et de la manière de le cultiver à l’infini. Le Moringa est un arbre qui a déjà sauvé des millions de personnes de la famine. Il pousse déjà chez vous. On l’appelle « Olivier ». Chaque citoyen devrait avoir droit à 10 de ces arbres, et devrait essayer d’en avoir une centaine. ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Moringa_oleifera ) Et votre île a grandement besoin d’être reboisée avec un arbre qui enrichi et fixe le sol.

Et puisqu’il n’y aura plus de gaz, vous devriez aussi répandre la connaissance des fours solaires « Cookit », reproductibles pour moins d’un dollar, et qui peuvent cuire même la viande et stériliser l’eau. (http://solarcooking.wikia.com/wiki/Cookit ou en français http://solarcooking.org/francais/Plans-fr.pdf )

Avec le Moringa et des fours solaires, chaque citoyen pourrait assurer sa propre vie, cultivant, cuisant et stérilisant sa propre pitance. Et si le pic pétrolier se concrétise, ceux qui survivront seront ceux qui pourront vivre par eux même, sans aide extérieure. Car sans pétrole, comment pourrions-nous transporter quoi que ce soit d’utile?

Les pays du nord, qui ont besoin de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre, pourraient bien devenir vos alliés dans cet effort de reboisement. Mais faites tout ce que vous pourrez sans eux, cela vaudra mieux! Ils sont si fertiles en fausses promesses! Si une vraie crise survient, une crise qui les touche, il ne faudra pas compter sur eux pour aider qui que ce soit à s’en sortir!

Donc, au nom de l’autonomie, et même de la simple survie, diffusez le plus possible la connaissance pratique du Moringa et des fours solaires partout dans le pays! Et quand les pays du nord en auront besoin, vous pourrez leur expliquer comment on utilise cet arbre et ces fours qui auront sauvé tant de vies.

François Privé
Professeur de philosophie

mercredi 18 juin 2008

Contribution à la réflexion collective lancée par Gérald Fillion sur le prix élevé du pétrole

Ce n'est peut-être pas à un simple choc pétrolier que nous assistons, mais bien au début de la fin du pétrole bon marché. Ceux qui le pensent parlent de "Pic pétrolier" ou "Peak oil" (http://www.youtube.com/watch?v=DMQd5nGEkr4) . Cherchez sur internet! Il y a des gens comme Matt Simmons, Michael Ruppert ou Richard Heinberg qui ont présenté le problème en long et en large, dans des textes comme dans des films. Et les perspectives sont plutôt sombres. Ils craignent 4 milliards de morts... Si leurs théories sont exactes, nous ferions mieux d'apprendre à jardiner car avec un pétrole à 350$ d’ici 4 ou 5 ans, ce ne seront pas seulement les compagnies aériennes qui feront faillite. L’agriculture industrielle elle-même est une grande consommatrice de pétrole. Sans carburant, que vaudront nos machines agricoles ? Et que deviendront nos gourmands réseaux de transport routier si l’essence monte à 3$ ou 4$ le litre ? Telles sont les raisons qui poussent les plus prévoyants à vérifier ce qu’ils pourront faire pousser autour de leur maison ! (http://www.youtube.com/watch?v=XyVNAgrbQz4 )

Pour ma part, je suis bien content d’avoir plein de maniaques de jardinage dans ma famille, et de connaître plusieurs personnes qui chauffent au bois…

Évidemment, les pessimistes ont peut-être tort. Mais ne devrions-nous pas être un peu plus prudents, et discuter collectivement de ce problème auquel nous ferons éventuellement face. Déjà quelques avant-gardistes tels que Patrick Déry proposent que nous abandonnions le pétrole avant 2030, avant qu’il ne nous laisse tomber. (http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080424/LAINFORMER/804240720)

Abandonner le pétrole avant 2030… Voilà un projet qui pourrait nous rassembler ! Non seulement serions-nous plus respectueux de l’environnement, mais nous serions capables de transmettre notre mode de vie à nos enfants. Et notre économie locale serait renforcée si nous y achetions de l’énergie propre au lieu de faire venir des ressources polluantes de l’étranger.

mardi 17 juin 2008

Lettre à Monsieur Wyclef Jean

Cher Monsieur Wyclef Jean,
Je vous écris pour porter à votre attention le travail d’une très belle et très vieille dame qui mériterait, je crois, vos félicitations et vos encouragements, autant pour elle-même que pour ceux dont elle prend soin...

Lettre à madame Michaelle Jean: "J'aimerais vous présenter une vieille dame qu'il faudrait aplaudir."

Cher Madame Michaelle Jean,

Je vous écris pour porter à votre attention le travail d’une très belle et très vieille dame qui mériterait, je crois, vos félicitations et vos encouragements, autant pour elle-même que pour ceux dont elle prend soin.

En apprenant que vous comptiez retourner à Port-au-Prince pour un petit bout d’été, je me suis dit qu’il fallait absolument que je vous écrive pour vous proposer de rencontrer ou prendre autrement contact avec quelqu’un. Une personne qui mériterait qu’on raconte son histoire. Une vieille dame du Lac-Saint-Jean qui ramasse des bleuets l’automne au Québec pour ramasser de l’argent pour nourrir 56 orphelins. Les cinquante-six enfants vivent dans un orphelinat qu’elle a mis sur pied avec l’aide d’un Haïtien. Ce n’est pas une religieuse. Elle est l’arrière grand-mère de l’un des collègues d’école de mes enfants. Imaginez! Elle a un arrière petit-fils de 11 ans et elle passe plusieurs mois de chacune de ses années en Haïti pour nourrir ces 56 enfants, et ramasse des bleuets ici pour financer une partie de ces activités!!!

Dany Laferrière avait fait un film sur les femmes qui tombent en amour avec un jeune éphèbe haïtien. Ne serait-il pas intéressant de faire un petit texte, quelques pages au sujet d’une femme qui est tombée folle amoureuse, d’un amour de grand-mère, pour 56 enfants haïtiens?

Regardez le film que son petit fils avait fait sur elle dans le cadre de mon cours de philosophie : http://www.youtube.com/watch?v=Hl9I9hTj38s

Si vous voulez la rencontrer, vous pourrez facilement la trouver en prenant contact avec l’une ou l’autres des personnes suivantes.

Et j'ai inclus les adresses...

Lettre envoyée à monsieur Dany Laferrière

Cher Monsieur Dany Laferrière

En apprenant que vous comptiez retourner à Port-au-Prince pour un petit bout d’été, je me suis dit qu’il fallait absolument que je vous écrive pour vous proposer de rencontrer quelqu’un. Une personne qui mériterait qu’on raconte son histoire. Une vieille dame du Lac-Saint-Jean qui ramasse des bleuets l’automne au Québec pour ramasser de l’argent pour nourrir 56 orphelins. Les cinquante-six enfants vivent dans un orphelinat qu’elle a mis sur pied avec l’aide d’un Haïtien. Ce n’est pas une religieuse. Elle est l’arrière grand-mère de l’un des collègues d’école de mes enfants. Imaginez! Elle a un arrière petit-fils de 11 ans et elle passe plusieurs mois de chacune de ses années en Haïti pour nourrir ces 56 enfants, et ramasse des bleuets ici pour financer une partie de ces activités!!!

Vous aviez fait un film sur les femmes qui tombent en amour avec un jeune éphèbe haïtien. Ne serait-il pas intéressant de faire un petit texte, quelques pages au sujet d’une femme qui est tombée folle amoureuse d’un amour de grand-mère pour 56 enfants haïtiens?

Regardez le film que son petit fils avait fait sur elle dans le cadre de mon cours de philosophie : http://www.youtube.com/watch?v=Hl9I9hTj38s

Si vous voulez la rencontrer, vous pourrez facilement la trouver en prenant contact avec l’une ou l’autres des personnes suivantes.

Étienne Bruny Fondateur de l’Orphelinat Espoir d’Enfant, et de l’Organisation pour la Promotion Sociale de l’Être Humain (OPSÉHU). C’est un homme dévoué et pieux, qui travaille de longues heures pour s’assurer que tout va bien pour les enfants de l’orphelinat. C’est lui qui travaille le plus fort au sein de l’OPSEHU pour établir des contacts et pour faire cheminer les projets de développement. Il a été témoin de nombreuses arnaques mais il garde la tête droite. Le samedi, il vient prier et chanter avec les enfants. Il a trois enfants et vit avec son épouse tout près de l’orphelinat. Ses numéros de téléphone sont : 1-509-675-5415 et 1-509-463-5606 e-mail : opsehu2004@hotmail.com

Jacqueline Lessard C’est la dame de 82 ans qui a choisi de partir en mission deux ans après le décès de son époux, et qui s’y consacre depuis 14 ans. Elle a travaillé plusieurs années avec les sœurs qui s’occupent de Villa Marès à Port-au-Prince, et a travaillé aussi aux quatre coins d’Haïti, notamment avec le père Jean Bruny, frère d’Étienne avec qui elle travaille aujourd’hui. Elle a fondé l’orphelinat avec Étienne, et contribue encore aujourd’hui largement à son financement. Au fil des années elle a obtenu le support de nombreuses personnes et de quelques institutions pour le bien des petits enfants. Ses témoignages de vie missionnaire sont fascinants. Elle a un téléphone : 1-509-801-3824. On peut aussi la rejoindre en téléphonant aux autres membres du personnel de l’orphelinat qui ont aussi des cellulaires.

Professeur Jean Romel. C’est un jeune professeur très allumé qui vient de la région de Jérémie, et qui vit à l’orphelinat 5 jours par semaine. Il continue ses études la fin de semaine. Il est ouvert aux projets de reboisement et de foyer solaire construits avec les enfants. Il est venu visiter les canards avec nous et il a récolté des pousses d’arbre à olive dont les feuilles sont comestibles pour les replanter à l’orphelinat. jeanRomeldy@yahoo.fr 509-772-9471

Gilles Savard Monsieur Savard est Casque Bleu à Port-au-Prince et il connaît bien Haïti. Il prend à cœur le sort des enfants de l’orphelinat et il organise pour eux des projections de films avec des collègues de partout : Chine, Niger, Mali… Il nous a accompagné à Dumay et il prend le temps d’accompagner Étienne et de chercher des solutions avec lui pour les défis que l’orphelinat rencontre. En Haïti, son téléphone est le 509-938-0027

Antoinette et Bernadette font la cuisine à l’orphelinat. Elles nous ont accompagné à quelques reprises au marché, et chacune de ces sorties fut une expérience riche. Merci de nous avoir fait visiter ce brou-ha-ha coloré, bondé, tumultueux et criard. Téléphones : Antoinette : 1-509-6604616 Bernadette : 1-509-847-6247

Reynold travaille dans la cour de l’orphelinat. Lui et sa femme ont 10 enfants à leur charge et ils voudraient en faire adopter. Leurs numéros : Reynold : 509-801-3824 Clairfine, la femme de Reynold : 509-666-8577.
Josée et Gérard Sajous C’est un couple très sympathique qui vit tout près de l’orphelinat. Gérard a un atelier de ferblanterie-recyclage bien outillé. Il a construit un enclos où Josée élève des canards. Ils ont des connaissances intéressantes sur les arbres comestibles qu’ils ont partagé avec Jean Romel. Ils sont témoins de Jéhovah. Jean Romel pourrait nous trouver son numéro de téléphone.
Harry Jean Charles opère un petit commerce tout près de l’orphelinat. Jacqueline était très contente de rencontrer cet homme gentil et poli qui vit tout près et dont le commerce pourra lui rendre de bons services. Il parle bien français. Il construit pour son frère, petit à petit, une très belle maison. Il a organisé les citoyens du quartier pour acheter un nouvel interrupteur pour le transformateur et ramener le courant dans le quartier. Il a offert d’aller à la mer avec Jacqueline, invitation soigneusement notée en prévision du voyage de Jules. Jean Romel pourrait nous trouver son numéro de téléphone.
John Goode est témoin de Jéhovah. Il vit près de l’orphelinat, au centre national haïtien des TdeJ avec sa femme Marie Côté qui vient du Lac-St-Jean. Le couple est sympathique et content de converser. Ils connaissent plusieurs autres TdeJ qui vivent au même endroit et plusieurs sont des amis de l’orphelinat. 509-722-5353

Lissa et François Joseph sont deux proches d’Étienne qui travaillent avec lui au sein de l’OPSEHU. François prête régulièrement son Pick-up aménagé comme un Tap-Tap à Étienne pour répondre aux besoins de l’orphelinat. Ce sont des visiteurs réguliers. C’Est François qui a trouvé le support nécessaire pour que l’orphelinat ait de la soupe au Giromon pour le premier de l’an. François travaille pour la MINUSTAH et Lissa travaille pour l’ONG Food for the Poor. Lissajoseph@hotmail.com et frjoseph70@yahoo.com

Jean Claude Simard, l’homme de confiance de Jacqueline en matière financière. C’Est lui qu’il faut contacter pour effectuer des transferts de fonds vers Jacqueline en Haïti. 418-668-5433

Hélène Harvey, une infirmière Almatoise qui partira bientôt pour les missions. Elle a l’intention de devenir religieuse d’ici peu et de consacrer une partie du reste de sa vie au service en Haïti. 321-0708

Claude Bouliane, Petit-fils de Jacqueline Lessard, a réalisé un power-point visible sur Youtube au sujet des œuvres de sa grand-mère, et il aimerait aller en Haïti. 418-818-7472
Marie PLANEL, Est infirmière à domicile dans le sud de la France, 30 ans d’expérience, 59 ans et bientôt à la retraite. Elle a 2 grandes filles dont une qui a fait 10 ans d’humanitaire (infirmière). Elle aimerait s’investir en Haïti, sur les trace de son Oncle qui a vécu là-bas. Son e-mail : PMT3000@wanadoo.fr
Jean-Marc Fortin a été Casque-Bleu en Haïti et il a déjà visité l’orphelinat, y a organisé des activités pour les enfants, notamment un souper hot-dog pour le jour de l’an, et a témoigné à quelques reprises pour présenter le travail de Jacqueline aux gens d’ici. 418-480-1923
Jacqueline Landry est journaliste à TQS. Elle aimerait adopter Roselande. Elle a vécu de nombreuses années en Haïti et connaît bien la situation là-bas. Elle aimerait aider l’orphelinat, mais hésite à retourner en Haïti. Elle ferait une excellente animatrice pour une émission spéciale ou un brunch pour soutenir l’orphelinat. 418-542-9578 418-815-6820 jacqueline-landry@cgotv.ca
Roger, le fils de Jacqueline, est très proche des œuvres de sa mère. 418-548-5565

Pour ma part, je serai très heureux de vous répondre si vous voulez m’écrire ou me téléphoner.

François Privé
Professeur de philosophie
Collège d’Alma
1-418-669-1884
bienvenueacangrejo@hotmail.com

Quelques bon petits vidéos sur le pic pétrolier

Visionnez quelques uns de ces vidéos pour en savoir plus sur le pic pétrolier, et faites vos propres recherches!

http://www.youtube.com/watch?v=UGD1L_WxOHc&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=_r5YL4EmHfY&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=pMdLnYv0I9M&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=DMQd5nGEkr4

Et regardez "Oily Cassandra" faire sa danse sexy et éducative!!!!

http://www.youtube.com/watch?v=vAPf9V3_li0&feature=related

Quelles sont les idées urgentes?

Quelles sont les idées urgentes?

Il y en aurait une liste très longue, mais dans une première évaluation, il faudrait mentionner…

L’effet de serre
Le pic pétrolier
La singularité technologique
L’unification civilisationnelle planétaire

Chacune de ces idées comporte de nombreuses ramifications…

Jardinons nos idées collectives!

Je ne sais pas trop quel usage je ferai de ce blog, mais il me semble que c'est une bonne idée de commencer à rendre publiques les idées qui passent à ma portée, en prenant la peine d'évaluer l'état de santé de ces mêmes idées, ainsi que leurs perspectives d'avenir en fonction des efforts que nous y investiront.

Il s'agira donc d'un bulletin de santé de quelques idées qui me semblent importantes, ainsi que la description de quelques outils pour contribuer à soigner les idées qui en ont besoin, que ce soit en les fertilisant ou en les combattant.

Un bulletin de santé de quelques idées, et quelques outils pour les jardiner.

Vos suggestions d'idées à observer sont les bienvenues.

François Privé

Il nous faudrait une fête de toutes les religions!

Message à François Bougingo et sa collaboratrice Eugénie


Ici, on ne fait pas que s’accommoder de la diversité, on la savoure et on la célèbre

Il nous faudrait une fête de toutes les religions, une fois par année, avec les meilleures recettes préparées par chaque religion dans toutes les grandes occasions de l’année. Lors de la fête de toutes les religions, chacun préparera ses meilleurs repas et ira sur la place publique de son quartier pour partager son repas. Et on mangera tous ensemble, et les touristes de tout le Québec viendront faire un tour à Montréal.

Merci à toute l’équipe de l’émission « Sans détour » de célébrer la diversité! Ça décrit mieux notre état d’esprit collectif que ce stupide vocable d’« Accommodement ». Ici, on ne fait pas que s’accommoder de la diversité, on la savoure et on la célèbre!

Transmettez des adresses pour qu’on puisse goûter cette diversité! Bien des gens des régions n’imaginent même pas la diversité des origines de ce qu’ils pourraient goûter à Montréal.

Bravo Eugégie et François et toute l’équipe!

François Privé
Professeur de philosophie

Google! Créez un outil google-earth pour le co-voiturage!

Google, please, help our planet by supporting carpooling! Hello to the whole team of Google! To help fight the greenhouse effect, you should launch a service called "Google Ride." On this service, people would indicate the transports by car they perform and they could share, indicating the price asked. Passengers wishing to travel could ask the machine seats available, which would be represented by journeys "Google Earth" appearing on different layers for each hour, whit the e-mail contact and pedigree of every driver involved. This could include the possibility of showing availability later in time and check for such future availability on a global detailed site like Google Earth. Such a site could even map all the rides of all sites involved in carpooling and publicize existing businesses that vitalize it locally. François Privé Professor of Philosophy


Google, s’il vous plait, aidez notre planète en supportant le co-voiturage!

Bonjour à toute l’équipe de google!

Pour aider à lutter contre l’effet de serre, vous devriez lancer un service qui s’appellerait « Google Ride ». Sur ce service, les gens indiqueraient les transports en voiture qu’ils effectuent et qu’ils pourraient partager, en indiquant le prix demandé. Les passagers qui voudraient voyager pourraient demander à la machine les sièges disponibles, qui seraient représentés par des trajets « Google Earth » apparaissant sur des layers différents pour chaque heure. On pourrait ainsi inscrire d’avance les disponibilités plus tard dans le temps et vérifier ces disponibilités sur un site planétaire détaillé comme Google Earth. Un tel site pourrait cartographier toutes les rides de tous les sites de co-voiturage existants et publiciser les entreprises qui s’en occupent localement.

François Privé
Professeur de philosophie

dimanche 1 juin 2008

Idée pour un jeu de société sur le reboisement

Tempête d’idées!!!
François : quand un joueur arrive sur le terrain de quelqu’un d’autre, cet autre joueur a le choix de lui transmettre des connaissances ou de lui réclamer un paiement. Donc tu peux donner ou prendre à une personne qui arrive chez vous autrement dit. Il faut qu’il y ait une menace commune comme l’effet de serre ou encore la souveraineté alimentaire. Donc il faut que tous les joueurs aillent intérêt à s’allier contre une menace commune. Cela peut être des menaces communes pour tout le jeu ou encore seulement pour certains joueurs. Le plateau de jeu est occupé par plusieurs continents sur chacun desquels il y a un parcours séparé et les parcours sont différents et tu peux choisir ou tu peux tirer au hasard sur quel continent tu commence.
Le but du jeu est de vivre une vie constructive.
Et pour cela il faut avoir vécu une vie constructive sur chaque continent. Et pour cela il faut avoir des contacts internationaux qui ont des vies réussies, et à la vie desquels on contribue.
Et que peut-on faire pour contribuer à la vie de son propre continent?
Un continent, il faut d’abord le dépolluer, ensuite il faut l’irriguer, le reboiser, le jardiner puis l’habiter intelligemment et durablement.
Si un territoire est habité imbécilement, il devient de plus en plus pollué et de plus en plus mort et dénué de biodiversité et donc de résilience, et donc il perd des qualités à chaque tour. Un pays mal utilisé peut par exemple perdre sa propreté. Il peut aussi perdre ses forêts, ou perdre ses jardins, en sachant que les jardins sans forêts sont plus facilement menacés.
Et il faut aussi doté chaque espace de la planète de populations saines d’esprit.
Mais pour avoir des populations saines d’esprit, il faut les éduquer, en gagnant des prises de conscience collective.
Les internautes sont invités à proposer des variantes de prises de consciences collectives susceptibles de transformer des populations de salisseurs en population de nettoyeurs, ou de transformer des peuples de déboiseurs en reboiseurs, ou des peuples de quémandeurs ou d’inconscients escrocs-voleurs-polueurs en peuples de jardiniers généreux. Et à partir d’un certain nombre de prises de consciences dans plusieurs domaines différents, un joueur peut devenir un intellectuel international capable d’influencer plusieurs continents. Pour cela, il faut plusieurs langues : Les langues de l’ONU. Et au moins cinq prises de conscience dans chaque grand domaine.
Et quand il fait une prise de conscience, chaque joueur doit ajouter un grafiti à son âme collective.
Chaque joueur a une âme collective et des pions individuels. Chaque joueur commence avec un pion individuel sur un continent, et peut réveiller un nouveau pion individuel avec n’importe quel de ses pions lorsqu’une carte est pigée. Et ce pion individuel peut se promener en essayant d’améliorer son continent. Mais l’efficacité d’un pion individuel dépend du nombre de prises de consciences collectives réalisées sur le continent de ce pion.
Lorsqu’un pion réussit à changer de continent, il agit au nom de son propriétaire avec la force combinée des continents qu’il a modifiés durablement pour le mieux. On peut envoyer un pion artiste sur un autre continent pour induire ou pour copier des prises de consciences négociées par les joueurs, chaque joueur ayant droit de prendre au moins une prise de conscience chez l’autre par tour à moins que les joueurs ne collaborent et décident d’échanger encore plus de prises de consciences.
Et le jeu est une course contre la montre, car la situation de la vie sur un continent n’est jamais stable avant d’avoir été habité intelligemment c’est à dire pacifiquement, proprement et durablement et en le reforestant, en le biodiversifiant et en le jardinant après l’avoir nettoyé case par case, pour enfin le connecter à l’internet démocratique. À mesure que les prises de consciences s’accumulent dans l’âme collective d’un joueur, il gagne des pions conscients. Chaque joueur est une âme collective dotée d’un plus ou moins grand nombre de pions individuels conscients qui se promènent de case en case pour accumuler les prises de consciences collectives, et qui changent les cases du monde pour le mieux, d’abord pour un continent, puis pour toute la planète.

Chaque continent est occupé par un parcours de 20 cases. Certaines de ces cases sont des terrains dans un certain état, qui se déterriorent un peu à chaque tour qu’un joueur passe sur une malchance collective sans avoir préalablement fait un certain nombre de prises de consciences collectives. Il y a donc sur chaque continent des cases terrains et des cases « Grande conversation démocratique » Lorsqu’on tombe sur l’une de ces cases, on pige une carte. Cette carte peut être une prise de conscience ou une grande démonstration de folie collective qui détruit un avancement sur un terrain ou un pion entier si c’est une guerre. On peut aussi tomber sur des chances collectives ou des malchances collectives qui touchent un ou plusieurs territoires.
Il y a des prises de consciences collectives qui sont des films, des chansons, des courants de pensée, des ong… Chacune des prise de conscience collective réfère à un texte et un grafiti en une phrase ou un idéogramme. Plusieurs des cartes de prise de conscience invitent le joueur à prendre une prise de conscience à un autre joueur en écoutant l’un de ses artistes ou de ses hommes d’état, ou en lui envoyant un ambassadeur de bonne volonté ce qui induit un échange de prise de consciences en nombre égal.
La carte « J’écoute et j’observe ce que font tes jeunes d’intelligents. » permet de copier une prise de conscience active chez une civilisation voisine.
L’objectif est d’avoir une conscience collective relativement « complète », c'est-à-dire une conscince collective dotée d’assez de prises de consciences pour pacifier, nettoyer, jardiner et reforester durablement au moins un peu sur chaque continent, et ce sur une planète tirée du danger de mort, c'est-à-dire une planète où tous les continents seraient entièrement nettoyés et convenablement habitée et vivants de manière durable, autant par l’état des terrains contrôlés par le joueur que par les prises de consciences collectives. Chaque joueur poursuit donc deux buts : s’occuper de son continent avant de rayonner sur tous les autres avec son pion individuel de base.
Les continents de base pourraient être l’Occident, l’Amérique du sud, l’Asie et l’Afrique.
Certaines prises de consciences nécessaires à un continent peuvent être inutiles à un autre.
La composition et la longueur du parcours peut différer d’un continent à l’autre. Et l’état des cases de terrain et les prises de consciences de l’âme collective au départ ne sont pas le même d’un continent à l’autre.
Il pourrait y avoir des variante régionales à toutes les échelles.
Les cases du parcours suivent un découpage correspondant un peu les territoires habitables et inhabitables des continents réels de la planète. On gagne une unité monétaire par amélioration présente dans notre champ d’influence à chaque grand tour. Notre champ d’influence représente la somme des cases de notre continent, plus les améliorations de toutes les cases qu’on a contribué soi-même à réaliser ailleurs.
L’objectif du jeu. Pour gagner, le joueur devra avoir un continent propre et pacifié dont le peuple rayonne dans le monde. Qui sera le plus rapide pour nettoyer et habiter pacifiquement sa forêt jardinée continentale avant de rayonner dans le monde?
Les cartes « rayonnement » peuvent être tirées lors des passages sur la case « conversation collective naturelle ou grande discussion démocratique » au même titre que l’une des cartes de prise de conscience.
Comment on peut avoir un pion individuel présent et qui soit le bienvenu ailleurs dans le monde?
Gagner l’Internet démocratique pour un continent permet l’accès à toutes les prises de consciences de la planète pour les pions qui s’y trouvent.
Et il y a des points de bascule civilisationnels qui transforment des populations de destructeurs de vie en populations de créateurs de vie.
Et l’objectif, c’est d’avoir contribué à la vie de trois continents.

Et une fois les habilitées gagnées sur un continent, il faut gagner ou se payer la chance d’aller continuer ailleurs, ou alors de commencer ailleurs.


Un continent peut perdre sa propreté.
On peut commencer la partie avec des continents en partie propres et en partie sale.



Valérie : le tout fait en trucs équitables et écologiques. À la place de payer en argent et de recevoir de l’argent on pourrait recevoir des arbres de différentes grosseurs et faire des échanges. On pourrait aussi gagner des voyages humanitaires ou des petites parcelles de terrain pour construire des écoles. À la place de mettre des maisons et ensuite des hôtels sur nos terrains, on pourrait commencer par y placer des forets, ensuite des écoles, de la nourriture, etc. si quelqu’une passe sur notre terrain c’est comme s’il aurait passé sans permission et il doit soit nous donner des arbres à planter dessus en dédommagement ou encore.