dimanche 1 juin 2008

Idée pour un jeu de société sur le reboisement

Tempête d’idées!!!
François : quand un joueur arrive sur le terrain de quelqu’un d’autre, cet autre joueur a le choix de lui transmettre des connaissances ou de lui réclamer un paiement. Donc tu peux donner ou prendre à une personne qui arrive chez vous autrement dit. Il faut qu’il y ait une menace commune comme l’effet de serre ou encore la souveraineté alimentaire. Donc il faut que tous les joueurs aillent intérêt à s’allier contre une menace commune. Cela peut être des menaces communes pour tout le jeu ou encore seulement pour certains joueurs. Le plateau de jeu est occupé par plusieurs continents sur chacun desquels il y a un parcours séparé et les parcours sont différents et tu peux choisir ou tu peux tirer au hasard sur quel continent tu commence.
Le but du jeu est de vivre une vie constructive.
Et pour cela il faut avoir vécu une vie constructive sur chaque continent. Et pour cela il faut avoir des contacts internationaux qui ont des vies réussies, et à la vie desquels on contribue.
Et que peut-on faire pour contribuer à la vie de son propre continent?
Un continent, il faut d’abord le dépolluer, ensuite il faut l’irriguer, le reboiser, le jardiner puis l’habiter intelligemment et durablement.
Si un territoire est habité imbécilement, il devient de plus en plus pollué et de plus en plus mort et dénué de biodiversité et donc de résilience, et donc il perd des qualités à chaque tour. Un pays mal utilisé peut par exemple perdre sa propreté. Il peut aussi perdre ses forêts, ou perdre ses jardins, en sachant que les jardins sans forêts sont plus facilement menacés.
Et il faut aussi doté chaque espace de la planète de populations saines d’esprit.
Mais pour avoir des populations saines d’esprit, il faut les éduquer, en gagnant des prises de conscience collective.
Les internautes sont invités à proposer des variantes de prises de consciences collectives susceptibles de transformer des populations de salisseurs en population de nettoyeurs, ou de transformer des peuples de déboiseurs en reboiseurs, ou des peuples de quémandeurs ou d’inconscients escrocs-voleurs-polueurs en peuples de jardiniers généreux. Et à partir d’un certain nombre de prises de consciences dans plusieurs domaines différents, un joueur peut devenir un intellectuel international capable d’influencer plusieurs continents. Pour cela, il faut plusieurs langues : Les langues de l’ONU. Et au moins cinq prises de conscience dans chaque grand domaine.
Et quand il fait une prise de conscience, chaque joueur doit ajouter un grafiti à son âme collective.
Chaque joueur a une âme collective et des pions individuels. Chaque joueur commence avec un pion individuel sur un continent, et peut réveiller un nouveau pion individuel avec n’importe quel de ses pions lorsqu’une carte est pigée. Et ce pion individuel peut se promener en essayant d’améliorer son continent. Mais l’efficacité d’un pion individuel dépend du nombre de prises de consciences collectives réalisées sur le continent de ce pion.
Lorsqu’un pion réussit à changer de continent, il agit au nom de son propriétaire avec la force combinée des continents qu’il a modifiés durablement pour le mieux. On peut envoyer un pion artiste sur un autre continent pour induire ou pour copier des prises de consciences négociées par les joueurs, chaque joueur ayant droit de prendre au moins une prise de conscience chez l’autre par tour à moins que les joueurs ne collaborent et décident d’échanger encore plus de prises de consciences.
Et le jeu est une course contre la montre, car la situation de la vie sur un continent n’est jamais stable avant d’avoir été habité intelligemment c’est à dire pacifiquement, proprement et durablement et en le reforestant, en le biodiversifiant et en le jardinant après l’avoir nettoyé case par case, pour enfin le connecter à l’internet démocratique. À mesure que les prises de consciences s’accumulent dans l’âme collective d’un joueur, il gagne des pions conscients. Chaque joueur est une âme collective dotée d’un plus ou moins grand nombre de pions individuels conscients qui se promènent de case en case pour accumuler les prises de consciences collectives, et qui changent les cases du monde pour le mieux, d’abord pour un continent, puis pour toute la planète.

Chaque continent est occupé par un parcours de 20 cases. Certaines de ces cases sont des terrains dans un certain état, qui se déterriorent un peu à chaque tour qu’un joueur passe sur une malchance collective sans avoir préalablement fait un certain nombre de prises de consciences collectives. Il y a donc sur chaque continent des cases terrains et des cases « Grande conversation démocratique » Lorsqu’on tombe sur l’une de ces cases, on pige une carte. Cette carte peut être une prise de conscience ou une grande démonstration de folie collective qui détruit un avancement sur un terrain ou un pion entier si c’est une guerre. On peut aussi tomber sur des chances collectives ou des malchances collectives qui touchent un ou plusieurs territoires.
Il y a des prises de consciences collectives qui sont des films, des chansons, des courants de pensée, des ong… Chacune des prise de conscience collective réfère à un texte et un grafiti en une phrase ou un idéogramme. Plusieurs des cartes de prise de conscience invitent le joueur à prendre une prise de conscience à un autre joueur en écoutant l’un de ses artistes ou de ses hommes d’état, ou en lui envoyant un ambassadeur de bonne volonté ce qui induit un échange de prise de consciences en nombre égal.
La carte « J’écoute et j’observe ce que font tes jeunes d’intelligents. » permet de copier une prise de conscience active chez une civilisation voisine.
L’objectif est d’avoir une conscience collective relativement « complète », c'est-à-dire une conscince collective dotée d’assez de prises de consciences pour pacifier, nettoyer, jardiner et reforester durablement au moins un peu sur chaque continent, et ce sur une planète tirée du danger de mort, c'est-à-dire une planète où tous les continents seraient entièrement nettoyés et convenablement habitée et vivants de manière durable, autant par l’état des terrains contrôlés par le joueur que par les prises de consciences collectives. Chaque joueur poursuit donc deux buts : s’occuper de son continent avant de rayonner sur tous les autres avec son pion individuel de base.
Les continents de base pourraient être l’Occident, l’Amérique du sud, l’Asie et l’Afrique.
Certaines prises de consciences nécessaires à un continent peuvent être inutiles à un autre.
La composition et la longueur du parcours peut différer d’un continent à l’autre. Et l’état des cases de terrain et les prises de consciences de l’âme collective au départ ne sont pas le même d’un continent à l’autre.
Il pourrait y avoir des variante régionales à toutes les échelles.
Les cases du parcours suivent un découpage correspondant un peu les territoires habitables et inhabitables des continents réels de la planète. On gagne une unité monétaire par amélioration présente dans notre champ d’influence à chaque grand tour. Notre champ d’influence représente la somme des cases de notre continent, plus les améliorations de toutes les cases qu’on a contribué soi-même à réaliser ailleurs.
L’objectif du jeu. Pour gagner, le joueur devra avoir un continent propre et pacifié dont le peuple rayonne dans le monde. Qui sera le plus rapide pour nettoyer et habiter pacifiquement sa forêt jardinée continentale avant de rayonner dans le monde?
Les cartes « rayonnement » peuvent être tirées lors des passages sur la case « conversation collective naturelle ou grande discussion démocratique » au même titre que l’une des cartes de prise de conscience.
Comment on peut avoir un pion individuel présent et qui soit le bienvenu ailleurs dans le monde?
Gagner l’Internet démocratique pour un continent permet l’accès à toutes les prises de consciences de la planète pour les pions qui s’y trouvent.
Et il y a des points de bascule civilisationnels qui transforment des populations de destructeurs de vie en populations de créateurs de vie.
Et l’objectif, c’est d’avoir contribué à la vie de trois continents.

Et une fois les habilitées gagnées sur un continent, il faut gagner ou se payer la chance d’aller continuer ailleurs, ou alors de commencer ailleurs.


Un continent peut perdre sa propreté.
On peut commencer la partie avec des continents en partie propres et en partie sale.



Valérie : le tout fait en trucs équitables et écologiques. À la place de payer en argent et de recevoir de l’argent on pourrait recevoir des arbres de différentes grosseurs et faire des échanges. On pourrait aussi gagner des voyages humanitaires ou des petites parcelles de terrain pour construire des écoles. À la place de mettre des maisons et ensuite des hôtels sur nos terrains, on pourrait commencer par y placer des forets, ensuite des écoles, de la nourriture, etc. si quelqu’une passe sur notre terrain c’est comme s’il aurait passé sans permission et il doit soit nous donner des arbres à planter dessus en dédommagement ou encore.

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